Le film Procédure opérationnelle standard, dirigé par Errol Morris et sorti en mai 2008 sur nos écrans touche un sujet lourd en controverses. On y décrit les injustices commises dans la prison d’Abu Ghraib, où des détenus soupçonnés d’être des terroristes vivaient dans des conditions déplorables. Ce documentaire réaliste trace une vision véridique de l’authentique bêtise humaine qu’ont faite preuve les soldats en charge des prisonniers.

C’est à travers les témoignages bouleversants des ex-gardiens de la prison d’Abu Ghraib  qu’on transporte l’auditoire dans un univers macabre, glauque et étranger. De nombreuses persécutions volontaires envers les captifs y sont relatées. Les moyens de tortures sont pour le moins surprenants et ce, dans l’unique but d’intimider les détenus pour les obliger à parler. Les interrogés et responsables, eux, témoignent sans aucun remord sauf, devant la mort. On dénote par cet effet une sorte d’ironie de la part du producteur. Ces homme et ces femmes ont eut beau supplicier et faire hurler des humains avec la plus grand cruauté qu’on puisse avoir, jamais ils n’auront montré un quelconque signe de regret. Ils racontent leur histoire avec une sorte de naïveté innocente en prétextant que c’était la faute les ordres donnés.

J’ai trouvé cette œuvre cinématographique particulièrement réussie. L’aspect visuel était d’un remarquable artistisme lorsqu’on voyait défiler les images chocs de la prison tout comme les reconstitutions d’événements clés. La musique, quant à elle, valait un détour. Danny Elfman n’a pas lésiné sur ses compositions, créant toute une gamme de pièces macabres propres aux circonstances.

Néanmoins, la question reste ouverte. La procédure opérationnelle standard était-elle une notion acquise par les soldats en charge de la prison? Ou, obéissaient-ils aveuglément à des ordres émis? Vue l’existence illégale des photos diffusées, ces dernières ont littéralement rendu la culpabilité des concernés. Pourtant, un arrière goût nous laisse accroire que ces soldats ne sont que des marionnettes dirigées par des supérieurs invisibles. Nous n’avons personne sur qui mettre la faute, mis à part les gardiens en contact direct avec les prisonniers. Pourtant, certains témoignages nous laisse croire le contraire.

L’échangeur Turcot, l’une des voies les plus utilisées de Montréal, commence à vider de plus en plus les poches de sa ville : 34 millions ont étés déboursés pour des réparations urgentes en seulement deux ans. Cet échangeur ne date pas d’hier puisqu’il a été instauré en 1967, en l’honneur de l’Expo 67. S’il n’a fallu que 18 mois pour le construire, il faudra 6 ans pour le remettre à neuf sous un coût d’environ 1,5 milliards. Cette décision de la de la ministre des Transports du Québec est due à la dégradation de l’état de la voie. Pour cause, un disfonctionnement du drainage rendait l’intérieur de la structure humide, au point où des blocs de béton se détachaient et rendaient ainsi l’endroit peu sécuritaire. Nombreuses ont été les interventions sur l’échangeur. Puisque la destruction et la reconstruction représentaient une trop longue période de temps où la voie ne serait pas disponible, étant donné son utilité indispensable pour la plupart des 280 000 véhicules qui le traversaient chaque jour. Néanmoins, ces interventions n’auront que prolongé l’espérance de vie de l’échangeur puisqu’on prévoit, en 2009, de commencer à le remplacer en totalité. Les travaux devraient, théoriquement, durer jusqu’en 2015.

L’économie japonaise est en crise, comme la presque totalité des grands marchés boursiers du monde. Le Japon est reconnu pour être un puissant exportateur des pays occidentaux, pareillement au reste de l’Asie. Si les pays de l’ouest du globe gardent une vigilance accrue dans ce qu’ils consomment, ce seront les pays asiatiques qui seront le plus pénalisés par l’inquiétude générale qui règne depuis que les chiffres nous montrent clairement une récession. Comme lorsqu’on frise la crise économique, les dirigeants de pays et la population s’immobilise et reste figée, attendant que l’économie reprenne sa vitesse d’elle-même. Les médias en sont pour beaucoup face à la frayeur que se créer la société alors que cette dernière devrait rester calme, sinon son attitude fera résulter un véritable Krach qui n’est pas souhaitable. Mais comment ne pas nier les fais ? Ce presque-Krach est déjà enclenché. Le prix du pétrole a subit une récession significative  à Londres et à New-York tandis que les bourses de Séoul et Shanghai dégringolaient à 10,57% et 6,32%. Mais le record asiatique reste celui de Hong Kong avec 12,7%. Le yen, la monnaie japonaise, a énormément gagné de valeur face au dollar canadien. Depuis 13 ans, jamais on avait vue le yen monter aussi haut en comparaison avec le dollar.

Le monde selon Monsanto, réalisé et produit par Marie-Monique Robin, traite d’un sujet lourd en controverse et souvent négligé du grand public : celui de la modification génétique des plantes. Ce documentaire choc trace un portrait véridique et cru de la compagnie spécialisée dans l’exploitation chimique et biotechnologique que se dévoile Monsanto.

Le message que tente de nous transmettre Marie-Monique Robin transcende à la fois les facettes économiques, culturelles et surtout, sociales auxquelles porte atteinte Monsanto. C’est à travers les consternants résultats qu’obtient Robin qu’on peut conclure une défaillance dans la façon dont l’entreprise gère ses produits et surtout, les rend indispensables lorsqu’ils ne sont utilisés qu’une seule première fois. Que ce soit aux Canada ou aux États-Unis, qu’on parle du suicide des agriculteurs de coton génétiquement modifiés en Inde ou encore, de la concurrence américaine de maïs transgénique face aux grands producteurs mexicains de maïs pur, Le monde selon Monsanto ne néglige aucun aspect de l’escroquerie dont fait preuve l’entreprise. Non seulement envers le grand public, mais aussi envers les gouvernements de l’Agriculture qui ne font pas le poids. On dénonce ses nombreux mensonges, souvent méconnus par l’effrayante puissance que dégage la compagnie.

Robin ne sous-entend qu’une meilleure approche des produits pouvant aider l’agriculture mondiale. Dans ce documentaire, les techniques dévoilées dont se sert Monsanto n’ont presque rien de positif, si ce n’est en apparence. Au travers de l’utopie que sous-entends la créatrice, on peut y voir une détermination féroce à vouloir faire assainir les végétaux qui garnissent nos assiettes. Par le fait même, c’est un appel clair au respect de la nature nous entourant afin d’élaborer l’organisation d’un monde meilleur, sans pesticides, sinon sans effets néfaste à court ou à long terme. Elle prône aussi la vérité trop souvent cachée ou falsifiée dans la société d’aujourd’hui. Cette-dernière ne prend pas souvent la peine de se poser des interrogations au sujet desquels découlent les questionnements constants du documentaire. Rarement iront-nous voir la provenance des graines de soja qui garnissent notre farine, notre yaourt ou encore, nos huiles alimentaires. Et pourtant, nombreuses sont les compagnies qui utilisent des produits chimiques sur leur plantations.

Marie-Monique Robin, journaliste française, prétend informer son public avec ses ouvrages qui traitent de sujets souvent controversés. Si elle a enquêté sur le trafic d’organes en Amérique latine et sur la perte de la biodiversité mondiale, les sujets modernes, et dernièrement environnementaux, lui ont valus une réputation de reporter  qui n’a pas froid aux yeux. La vie selon Monsanto se classe parmi ses œuvres dénonciatrices.

Je crois que ce documentaire est lourd de sens face aux valeurs que nous apportait l’agriculture « saine » autrefois. Les temps qui nous guettent nous placent en face d’un défi de taille qu’est la consommation industrielle. Celle-ci est amenée par des produits nocifs, souvent mortels, qui placent les consommateurs et les producteurs dans de beaux draps. Cette œuvre est sans contredit très significative.

Le Parti Québécois, pour sa part dirigé par Pauline Marois, veut émettre des gestes immédiats afin de protéger les travailleurs contre la crise économique. Elle veut aussi, entre autres, développer, à long terme, un Québec qui créer ses entreprises et qui est favorable aux investissements, augmenter les activités de recherches et remettre sur pied un système d’éducation d’avantage favorable à la création d’emplois, utiles à la relance de l’économie. Le PQ serait prêt à investir dans le développement de nouvelles énergies afin de réduire l’émission de gaz à effets de serre. Aussi, il voudrait favoriser les transports en commun et son électrification. Dieu seul sait que Pauline Marois voit une importance flagrante envers la famille. Ses décisions sont les plus nombreuses sur ce domaine : un soutien financier adéquat suite à une naissance, une allocation lors de la rentrée scolaire, l’incitation auprès des employeurs un ajustement approprié pour la conciliation travail-famille ou encore, la facilitation de l’accès à un foyer convenable. La plus populaire des résolutions prises par Pauline Marois est sans contredit accès de chaque citoyen à un médecin de famille. Ce sera la valorisation de l’emploi qui résultera l’objectif entrepris puisque la situation des médecins n’a jamais vraiment été de bons augures.

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Nombreux seront les défis que devra surmonter le nouveau président des États-Unis, Barack Obama. Entres autres, les relations entre la Russie et les États-Unis sont présentement tendues puisque monsieur Bush avait une opinion plutôt mauvaise de la Russie à genou dirigée par Yetsin alors qu’elle était encore sous le choc de l’Union soviétique. Tandis que Poutine, lui, est un premier ministre différent, nationaliste, qui voudrait revoir la Russie remonter les échelons de sa puissance. Obama devrait être capable d’avoir une certaine compréhension envers la Russie et, par le fait même, créer une certaine paix entre les deux pays. Aussi, il faut prendre en considération la décision d’installer des boucliers anti-missiles en Europe de l’Est. Étant donné que la Russie n’est pas d’accord avec ce projet, il faudrait qu’Obama arrive à un consensus qui ne mette pas les deux pays à dos. De plus, le nouveau président des États-Unis devra trouver un moyen de protéger l’Ukraine, qui demande à entrer dans l’OTAN à cause de l’invasion russe. Et ce, sans contrarier la Russie.Etla guerre en Iran, où il souhaite enlever ses troupes, ne se résoudra pas toute seule. Étant un facteur de l’économie américaine (la production d’armes) et la récession se faisant plus prononcée, Obama devra trouver une solution de secours afin de régler la crise sans aucune guerre pour l’amincir.

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Depuis que les bateaux russe ont envahit Sébastopol, principal port d’Ukraine, celle-ci demande à entrer dans l’OTAN à cause de l’invasion. La Russie a donné, en cadeau à l’Ukraine en 1964, la Crimée, péninsule qui partage la mer Noire avec la Russie. Ces deux pays étaient alliés avec l’Union soviétique. Le principal port de la Crimée est Sébastopol, où les bateaux russes sont en grande majorité par rapport à la flotte ukrainienne. Ceci représente bien la situation de l’Ukraine, envahit par les russes et leur culture : rares sont les enfants qui sont capables d’articuler ne serait-ce qu’une phrase en Ukrainien tandis que les librairies contiennent davantage de livre anglais que de livre ukrainiens.

Lorsque Yetsin, ex-premier ministre de la Russie, a défait l’Union soviétique, dont faisait partie l’Ukraine, il n’a pas décidé de garder le port de Sébastopol en échange de la liberté du pays. L’Ukraine, pour contrer l’invasion russe, voudrait faire parti de l’OTAN, afin d’avoir la garantie d’une protection efficace. Malheureusement, beaucoup sont à dire que si L’Ukraine entre dans l’organisation, c’est une guerre comme la Géorgie

qui l’attendra : proche de la guerre froide, sanglante. Néanmoins, l’Ukraine ne peut pas se laisser assimiler par les russes puisque, théoriquement, ces terres ne leur appartiennes pas de droit.

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Mario Dumont, chef de l’Action Démocratique du Québec, soutient l’affirmation de l’identité québécoise sans toutefois être pour la souveraineté du Québec. Il prône ainsi l’autonomie financière, économique et politique face au Canada. Pour ce qui est de l’économie de la province, l’ADQ projette d’augmenter le pouvoir d’achat des citoyens québécois par rapport au reste du Canada. Ainsi, plusieurs projets sont annoncés par l’ADQ. Entre autres, un meilleur investissement des entreprises, l’allègement des dettes et des finances publiques et, adapter l’éducation selon les carences du marché. Justement, Dumont s’engagerait dans un thème d’autonomie général pour l’éducation : l’autonomie des élèves, des écoles et des professeurs. Et ce, pour un meilleur rendement dans la future carrière des enfants. Aussi, il prime la lutte contre le décrochage scolaire en ambitionnant sur les moyens nécessaires pour la gagner : la création d’une marge de manœuvre adéquate afin de ne pas être entravé par les normes et le règlement. Au niveau de la famille, l’ADQ voudrait permettre aux ménages de bénéficier d’une allocation, tout en ayant le droit de décider le mode de garde de leur enfant. Une attention toute particulière sera aussi donnée aux vieilles personnes en perte d’autonomie, ou non.

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Il semblerait que le cours d'éthique et culture religieuse ne plaît pas à tous depuis septembre. En effet, les manifestations ébruitent un mécontentement en scandant des "Non à la religion d'État" ou encore, "l'État dépasse son mandat". Ce qui ne fait pas leur affaire? Le fait qu'on enseigne aux jeunes du primaire et du secondaire une matière de nature trop complexe pour leur âge. Ainsi, ils pourraient facilement être confus entre les différents dieux tels que Bouddha, Allah ou encore Yahvé. Mais le ministère de l'Éducation refuse formellement toutes formes d'exemptions aux cours. Les parents voient d'un œil furieux cette décision en émettant le fait que le gouvernement enfreint la Charte des lois et liberté en décidant ce qui est acceptable dans les valeurs qu'ils ont à transmettre.

Les manifestants y vont de pied ferme en citant certaines lois permettant aux parents de retirer leurs enfants d'un cours à l'aide de motifs valables. Un homme est même allé jusqu'à venir chercher sa fille à l'école lors du cours fatidique. Le gouvernement reste cependant de marbre tout en justifiant la création de ce cours qui ne sert qu'à créer une harmonie saine entre les différentes cultures et religions présentes au Québec.

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L'avertissement est encore lancé: il semblerait que les livres électroniques entrent en force dans le marché Américain. Cette machine, selon certains éditeurs, réussirait à remplacer les livres en papier d'ici 2018. Le concept est simple: il suffirait de télécharger le livre désiré à partir, seulement, d'un réseau sans fil. Mais là est la cause d'un problème pas si anodin puisque certains éditeurs, de même que les auteurs, peinent à imaginer comment leur travail serait volé, tout comme la musique ou le cinéma de nos jours.

Cet appareil a tout de même ses avantages! Si on pense, par exemple, que le gaspillage de papier se fera moins grand. Moins encombrant aussi, les livres électroniques permettent de stocker des centaines de textes. Il y a aussi un meilleur accès à certaines œuvres qui ne sont plus imprimées ainsi que les autres toutes nouvelles ou simplement normales. Les textes sont évidemment moins dispendieux mais le plaisir de fouiller dans les librairies et d'avoir une bonne conversation avec un employé n'aura pas la même signification.

Néanmoins, certaine contraintes se glissent dans cette nouvelle percée qui n'est pas pour rassurer les écrivains. La pluparts des textes téléchargeables sont en anglais, étant donné que c'est une invention des États-Unis. De plus, cette machine est particulièrement chère, montant jusqu'à 300 euros. Aussi, il faudra une certaine adaptation des différents manuscrits afin qu'ils puissent être lisibles sur tous les lecteurs.

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